Projet de cordonnerie industrielle « CYPRUSKIN »

Le porteur et l’initiateur n’est pas un néophyte dans le secteur concerné. Il a appris le métier du cuir auprès des maîtres bottiers et maroquiniers en France. Il s’y est expérimenté et a acquis une dextérité sur laquelle il s’était appuyé pour créer une unité de production avec la marque « CYPRUSKIN » à Kinshasa dans les années 2010. Les conditions économiques du marché kinois l’avaient poussé à la fermeture.

IMPACT du projet :

1- du point de VUE SOCIALE :

Les connaissances acquises dans le métier du cuir mettent Mr Basiluabo dans la position d’une personne capable d’organiser la transmission du savoir technique aux jeunes congolais afin qu’ils deviennent rapidement opérationnelle dans l’entreprise.

L’Objectif est d’atteindre une production de masse mais de qualité qui soit adaptée au climat du pays. La répartition des gammes des produits surtout pour les pieds, s’adaptera aux différentes couches sociales de la population. Il est prévu d’améliorer la qualité de la traditionnelle « la gomme ».

Avec un effort progressif d’implantation des structures de production dans plusieurs provinces, nous pourrions assurer rapidement une présence solide sur le marché national. Nous arriverons ainsi à chausser une bonne majorité de la population. Nous augmenterons les chances de chausser le plus d’enfants possible. Si la majorité des enfants cessent d’être pied nu, les pathologies microbiennes qui s’attrapent par les plantes des pieds disparaîtront et la santé des enfants s’améliorera.

Lorsque la jeunesse devient moins exposée aux parasites, le pays pourra compter sur une bonne future force du travail.

2- du point de VUE ECONOMIQUE :

** En s’appuyant sur un personnel bien formé, nous visons une production de masse mais de qualité et une production des biens sur commande. La production large permet de bénéficier d’une économie d’échelle pour pouvoir vendre au prix le plus bas.

** Nous visons dans un premier temps le marché congolais. L’implantation des points de ventes dans les pays limitrophes se fera au grès des résultats des études de marché. Chaque implantation aura pour effet non seulement d’accroître le volume des exportations de la RDC, mais aussi d’assurer la présence du « made in DRC » hors du pays. Le porteur de ce projet, doté d’une expertise manuelle, vient s’ajouter à tous ces congolais qui veulent produire la valeur ajoutée pour mettre l’économie congolaise sur la voie de la création de la valeur.

La valeur ajoutée, au de la des actionnaires et du personnel, est aussi bonne pour booster l’amour du pays et le chauvinisme dans le mental des congolais.